Survivre avec les loups : Un drame d’une jeune fille « Misha » qui aurait pu être le titre du film. Un très bon début, un fin superbe dommage quelques incohérence dans le milieu sinon l’histoire est émouvante. Guy Bedos est attachant. Un parcours impressionnant et incroyable où le petit chaperon rouge n’a pas peur des loups
Cortex : Un bon polar où André Dussollier perd un peu la tête mais pas le nord pour se rôle qu’il interprètre à la perfection. Au delà du thriller ce film nous fait réfléchir sur la maladie mentale, la vieillesse et les abus de confiances, sur l’incorfort et la souffrance endurés sur un mal… mal connu. A voir et à méditer
Astérix aux Jeux Olympiques : COCORICORIX VIVE LA GAULE;j’ai vu un très bon film. Le travail énorme de la réalisation parfaite et réussie m’a séduit. Je suis sorti de la salle très enthousiaste avec encore le rire aux lèvres sous les applaudissements du public conquit par ce film. Une BD mis à l’écran de cette façon à l’écran il faut être gaulois pour faire ça. La distribution comme A Delon, C Cornillac, G Depardieu, B poelvoorde pour ne citer que les principaux… Quel bonheur, quel saveur un spectacle haut en couleur. César vous méritez bien un Oscar aux jeux olympique du film comique étranger… BRAVO ET MERCI A TOUS !!!
No Country for Old Men – Non, ce pays n’est pas pour le vieil homme : Un western gros câlibre, un tueur sans pitié pour une mallette remplie de dollars va faire une chevauchée sans relâche. Un cow boy entre homme dans un Texas aride… dommage qu’il s’essouffle d’un coup et que… mince.
Didine ; Une comédie qui a du mal à partir puis un soupçon de Tatie Danièle avec humour et une fin tirée par les cheveux. Seule Géraldine Pailhas tient le film au contraire de Benjamin Biolay qui n’a rien avoir dans le casting. Didine rime avec bibine, une bière éventée.
Live ! Comment résister à la séduction et au charme de la sublime Eva Mandès, jusqu’où peut-elle aller pour obtenir le plus d’audimat à la télé. Cette émission de télé-réalité est insupportable à regarder. Live un film cruel et cynique…
Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street : e film musical diabolique baigne trop dans le sang, ce n’est pas ma tasse de … sang. Johnny Depp est parfait mais je n’ai ressenti aucune émotion particulière dans cette histoire et Helena Bonham-Carter est bien coquine pourtant.
Lust, Caution : Un thriller sulfureux, une romance douloureuse, j’ai été pris par la puissance des images, par les silences pesants d’angoisse. J’ai ressenti de l’émotion, de la douleur, de l’attente .., des palpitations au plus profond de moi. J’ai été séduit par le charme, la beauté et le talent de Tang Wei toujours impeccable quelque soi la situation. Des scènes érotiques troublantes et déchirantes m’ont fait transpirer. Un film splendide !
4 minutes : Ce drame dans un univers carcéral et de musique classique séduit par son teint lugubre et sombre. La douleur enfuit dans ces personnages surgit avec violence et haine. La réalisation aurait méritée d’être plus juste, je me suis égaré par moment. Les deux actrices soutiennent bien ce film par leur prestation.
La Guerre selon Charlie Wilson : Ce drame historique des années 80 sur l’armée soviétique en Afganistan nous fais réfléchir sur la studité de la guerre et du communisme. Dommage que l’on voit des images imbibées de whisky toutes les 2mn, à croire que c’est lui qui résoud tous les problèmes. T.Hanks, J.Roberts et P.S.Hoffmann un très bon trio d’acteur pour des dialogues sur mesure.
