Bethléem est un drame palestinien. 005. Bethlehem sud de Jérusalem. un jeune palestinien vit dans l’ombre de son frère un terroriste à la tête d’un réseau influent.  Tentant d’assurer son rôle tout en restant loyal envers son frère, il navigue comme il peut d’un camp à un autre… Ce thriller pose une vraie question : doit-il donner une seconde chance à son indic ou obéir aux ordres ? Un film violent sur l’atrocité de la guerre qui laisse toujours un goût amer.

Le Crocodile du Botswanga est une comédie « satire politique ». Le duo Eboué-Ngijol se rit de spires chefs d’Etat africains, de la dictature, du fric et du passé colonial de la France. Ce film est concentré sur l’humour mais j’ai plus souris que ris!

La Belle et La Bête est un conte fantastique. La beauté des décors, des costumes et de la photo  insuffle toute la magie du conte. Dommage que les dialogues et l’histoire ne soient pas aussi forte que l’esthétisme visuel.

Les Trois frères, le retour est une comédie de retrouvailles. Le scénario pas très fin, avec des gags vieillots pour quelques rires timides. Je n’ai pas senti la complicité du fameux trio d’antan. Bref, le retour n’est pas réussi…

American Bluff est une  histoire à suspense. Un excellent thriller sur le mensonge et la manipulation, c’est un film réjouissant. Reconstitution attentive des années Seventies, avec un casting sur mesure et une mise en scène subtile nous plonge dans l’univers fascinant et vraiment bluffant !

Dallas Buyers Club est un drame et un biopic. Histoire vraie, 1986, Dallas, Texas,  Ron Woodroof a 35 ans, des bottes, un Stetson, c’est un cow-boy, un vrai. Sa vie : sexe, drogue et rodéo. Tout bascule quand, diagnostiqué séropositif, il lui reste 30 jours à vivre… Ron en créant son club doit s’engager car son succès dérange dans une bataille contre les laboratoires et les autorités fédérales. C’est son combat pour une nouvelle cause… et pour sa propre vie. Un film subtil sur la compassion, la tolérance et l’altruisme.