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Archives mensuelles : décembre 2024
Les cadeaux
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Les cadeaux est une comédie décousue. Un excellent casting, mais des scènes qui se suivent sans fil conducteur, des dialogues un peu lourds. En résumé, ce film n’est pas un cadeau !
Joli, joli
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Joli, joli est une comédie musicale. Tout est « joli joli » dans ce film : les mélodies délicates, les paroles mélancoliques, les chorégraphies tourbillonnantes, les décors rutilants. Et bien sûr les acteurs, qui donnent tous de la voix.
Mon inséparable
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Mon inséparable est un drame. A la limite de la performance, l’actrice impressionne, certes, mais sa prestation est si voyante qu’elle ne sert pas toujours les intérêts de ce film émouvant, mais bancal.
Sara Bernhardt, La Divine
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Sara Bernhardt, La Divine est un drame, romance. Nicloux fait revivre la comédienne de manière extrêmement moderne, et Sandrine Kiberlain en propose une incarnation vibrante et virevoltante. De sa prestation, on retient notamment ce rire qui jaillit comme un grand éclat de vie et de liberté.
Oh, Canada
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Oh, Canada est un drame. Si ce film donne parfois dans le morbide, le comédien de 75 ans y livre une composition de haute volée dans la peau usée de cet homme à bout de forces, qui s’oblige à se confronter à ses lâchetés et ses mensonges passés…
Mufasa : Le Roi Lion
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Mufasa : Le Roi Lion est un beau film d’animation, aventure, muscical. Réalisé par l’oscarisé Barry Jenkins, le prequel, qui suit le lionceau anthropomorphique dans sa quête de légitimité royale, est étonnamment correct. Un film d’animation à couper le souffle.
Jamais sans mon psy
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Jamais sans mon psy est une comédie. Beaucoup de vannes tombent à plat. Au point que lorsque le Dr Béranger lance « les blagues, c’est censé faire rire », le spectateur ne peut qu’acquiescer dans son fauteuil. Heureusement, on sourit parfois de l’abattage de Christian Clavier.
Le Seigneur des Anneaux : La guerre des Rihirrim
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Le Seigneur des Anneaux : La guerre des Rihirrim est un film d’animation, d’aventure, fantastique. Extrêmement beau, avec une direction artistique d’une rare cohérence, des graphismes regorgeant de détails et des choix de couleurs qui donnent un cachet « adulte », « La Guerre des Rohirrim » s’appuie également sur un scénario riche en action et en rebondissements.
Les femmes au balcon
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