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La dégustation est une comédie, romance. Campan est convaincant en caviste bougon et Carré se montre touchante en grenouille de bénitier ayant un faible pour le bon vin. Mais la mise en scène, un peu trop plate, de cette romance dégrise le spectateur.
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Leila et ses frères est un drame familial. L’âpreté des disputes familiales se révèle parfois éprouvante, mais la séquence finale. Mais 2h40 de dispute ça fait long !
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Là, où chantent les écrevisses est un bon thriller. Cette adaptation, un brin édulcorée, se concentre plus sur la romance entre Kya et Tate, que sur le suspense de l’enquête et du procès, plus intense dans le roman. Reste une belle histoire, une ode à la nature et un joli portrait de femme résiliente. Un film haletant !
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Rumba la vie est une comédie. Il s’ensuit un film sympathique et doux. Deux éléments, en revanche, freinent son allant et sa crédibilité. Le premier tient au manque de profondeur émotionnelle dans la relation entre le père et la fille. Le second, comme annoncé, est lié au parti pris du film : la comédie et le mélodrame s’y désarment en permanence.
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Les volets verts est un drame. Adapté d’un roman de Georges Simenon, scénarisé par Jean-Loup Dabadie, « Les Volets verts » émeut avec cette histoire d’un homme qui apprend à renoncer et à dire adieu à sa carrière, à la femme qu’il a aimée et à la possibilité d’un nouvel amour. Et Depardieu, bien sûr, lui donne une tendre épaisseur.
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De l’autre côté du ciel est un joli film d’animation. Un dessin animé tout public, à la fois touchant et sensible avec des graphismes novateurs et agréables, Comme quoi il faut toujours croire en ses rêves !
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Les vieux fourneaux 2 est une comédie. L’ensemble donne une fable pétrie de bons sentiments sur le respect de la dignité humaine, la rencontre avec l’étranger, etc.
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Nope est un thriller sur les OVNI. Bien qu’un peu long, ce film sacrément ambitieux suscite l’angoisse avec un minimum d’effets numériques.
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On piece film – Red est un film d’animation. Ce film n’est pas le plus réussi des incursions du manga sur grand écran parce qu’il est peut-être celui qui prend le plus de risque. En cherchant à appuyer sa différence, aussi bien dans son animation que dans sa volonté malhabile de replacer des personnages au centre du récit, il marque une étape dans la vie de Luffy que chacun.e appréciera en fonction de sa propre relation avec l’oeuvre d’Oda.
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La très très grande classe est une comédie amusante. Avec un bon casting ce film se regarde avec plaisir, les gags et les situations se succèdent. Melha Bédia n’a pas fini de nous faire rire.
