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Il reste encore demain est une comédie dramatique. La force de ce film féministe, c’est qu’il traite d’un sujet sombre de façon très originale, oscillant entre humour, légèreté et drame. Les scènes de violences sont dansées, les personnages font sourire autant qu’ils peuvent nous glacer et le twist final est bien amené. Le film porte un souffle, une énergie qui fait un bien fou.
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HLM Pussy est drame sur le harcèlement. Nora El Hourch étudie ce milieu sans a priori et retranscrit avec justesse le langage des banlieues : les échanges sont réalistes, le phrasé crédible. La dureté des propos surprend, quitte à choquer sciemment le spectateur. Les trois actrices, Leah Aubert, Médina Diarra et Salma Takaline, ont une complicité qui crève l’écran.
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La vie de ma mère est un drame. Cette chronique tragi-comique trouve le ton juste pour parler de la bipolarité et de ses conséquences sur tout l’entourage. Et nous fait joliment passer du rire aux larmes et réciproquement. Agnès Jaoui et William Lebghil mettent de la tendresse et de l’humour dans cette originale histoire mère-fils.
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Boléro est un biopic. À force de nuances ou peut-être parce qu’elle a voulu être trop fidèle au parcours de ce musicien qui n’avait pas un caractère aussi flamboyant que certains de ses morceaux, Anne Fontaine brosse un portrait un peu sage et parfois froid de Maurice Ravel. Il y a cependant des bons moments, fougueux.
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14 jours pour aller mieux est une comédie. Si le scénario ne brille pas toujours par son originalité, le film brille par des dialogues souvent bien sentis et offre de brèves mais savoureuses partitions à quelques seconds rôles prestigieux, de Michel Boujenah à Bernard Farcy en passant par Chantal Lauby, Redouane Bougheraba ou Ragnar Le Breton.